Gâteau aux fraises japonais est préparé à Noël. Mais dépenser de l’argent fou dans une boîte de baies en plastique en hiver est une pure folie. Par conséquent, nous le ferons cuire au début de l’été, après avoir attendu la première fraise du sol, les Japonais ne seront pas offensés par nous.
À première vue, il n’y a rien d’asiatique dans ce gâteau. Bien que la paternité de la recette appartienne à Fuji Ranemon, un Japonais de Yokohama. Ce nom ne nous dit rien, mais pour le japonais Fuji Ranemon est le roi et le dieu de l’art de la confiserie.
Gâteau aux fraises japonais. Histoire
Dans les années 1920, après des études aux États-Unis, il ouvre une confiserie Fujiya dans sa ville natale, où il est le premier de tout le Japon à confectionner des desserts selon le style occidental.
Le gâteau aux fraises est l’une de ses principales réalisations. Prenant comme base des tartes aux baies allemandes et le « biscuit angélique » américain sur des protéines fouettées (c’est son nom officiel), il a créé son propre gâteau avec une pâte à biscuits légère, une crème blanche comme neige et une garniture de baies vivantes.
Aujourd’hui, le gâteau aux fraises, coupé en carrés soignés avec une baie écarlate sur le dessus, est vendu au Japon dans toutes les rues, sa popularité est montée en flèche à l’ère d’Instagram, le nuage blanc et rose du gâteau est fabuleux dans l’histoire.
Gâteau aux fraises japonais. Les secrets principaux
Mais ce n’est pas seulement une question de beauté. Le biscuit, maintenant appelé japonais dans le monde entier, devient rose comme le blush d’une mariée et a ce degré de tendresse inexistant dans la nature, qui est le plus fidèlement véhiculé par le mot anglais fluffy
La crème onctueuse – épaisse, mais aérée – fond dans la bouche. Les fraises, comme aucune autre baie, ajoutent aux sensations de fraîcheur estivale perçante. En somme, c’est un exemple de minimalisme qui provoque une dépendance persistante. Nous vous recommandons fortement de l’essayer. Et surtout à ceux qui « ne mangent jamais de sucreries ».
